La solution, c’est le peuple citoyen

indexVendredi 26 juin, le premier ministre grec Alexis Tsipras annonçait la tenue d’un référendum le 5 juillet prochain pour décider de la poursuite ou non du processus de discussion tel qu’imposé par la Troïka. Parce qu’il porte chevillée au corps l’Histoire de son peuple, Tsipras sait que le nœud coulant passé aujourd’hui au cou des grecs est aussi un nœud gordien. Et que donc il doit être tranché. C’est au peuple qui recouvre ainsi sa souveraineté qu’il confie cette tâche. Lire la suite

Après l’externalisation, Carvounas fait payer les rythmes scolaires

Carvounas VallsIl y a 18 mois, alors que Vincent Peillon imposait son décret sur les rythmes scolaires. Nous avions ici-même diagnostiqué le processus d’externalisation et de privatisation rampante des activités périscolaires que constituait cette réforme (lire ici). Il n’avait d’ailleurs pas fallu attendre longtemps pour que le très valsiste Luc Carvounas en fasse la démonstration en procédant à un appel d’offre pour attribuer le « marché » des nouvelles activités périscolaires (NAP) dans la ville d’Alfortville dont il est sénateur-maire (entre autres). Un an plus tard donc, le deuxième étage de la fusée est lancé : Luc Carvounas a annoncé aux parents d’élèves par courrier daté du 10 juin 2015 que non seulement les taux d’encadrements seraient ramenés à leur niveau plancher, mais que parallèlement les NAP deviendraient payantes dès la rentrée de septembre. CQFD !     Lire la suite

Fusion des universités de l’est parisien : libéralisme et autoritarisme font bon ménage

image upecLe démantèlement de l’Université du savoir, de la connaissance et des qualifications dans l’est parisien, c’est maintenant.  Jeudi 26 juin, au prix d’un nouveau  passage en force, le conseil d’administration de l’université Paris Est Créteil (UPEC) devrait en effet se prononcer sur le projet de fusion de l’UPEC et de l’UPEM (Université Paris Est Marne). Voilà les étudiants de l’est parisien populaire jetés en pâture dans les griffes des financiers et plongés dans la sempiternelle « concurrence libre et non faussée ». Lire la suite