Le dialogue social en état de mort cérébrale ?

Un nouvel épisode de Quartier constituant sur Quartier général.

Au programme, une réflexion sur le mouvement populaire en cours autour de la question : « Avec Macron, le dialogue social est-il en état de mort cérébrale ? »

Nous y recevons, avec Charlotte Girard et l’étudiante et Gilet jaune Manon Milcent, le  président de l’association Pour la constituante et ancien président de la commission des affaires étrangères à l’Assemblée nationale, André Bellon.

L’Assemblée nationale n’a pas mandat pour casser nos retraites !

Tribune que je cosigne publiée dans le Huffington Post le 15 janvier

Le 17 février, le projet de loi sur les retraites doit être examiné par l’Assemblée nationale.

En ne renonçant pas à l’examen parlementaire d’un texte qui a d’ores et déjà suscité le plus long mouvement social du dernier demi-siècle et auquel les Français s’opposent très majoritairement, le gouvernement bafoue la démocratie.

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2020, l’année du Tous ou rien

Tribune collective publiée ce 9 janvier dans Marianne

Par Flavien Chailleux, gilet jaune, fonctionnaire au sein du ministère du travail, François Cocq, essayiste, Jean-Marc Devauchelle, militant syndical SUD Santé Sociaux, Eric Drouet, gilet jaune, Charlotte Girard, maîtresse de conférences de droit public, constitutionnaliste, Manon Le Bretton, enseignante et élue rurale, Sacha Mokritzky, directeur de la communication du média Reconstruire.org, Régis Portalez, ingénieur, Manon Milcent, étudiante gilet jaune

« Je me révolte donc nous sommes ». Ainsi, en 1951, parlait Albert Camus, qui nous a quittés il y a tout juste soixante ans, dans son ouvrage L’Homme révolté. Ces mots résonnent chaque jour avec plus d’acuité dans une France minée par l’individualisation à outrance, empêtrée dans les travers tortueux et torturés du libéralisme financier de la Macronie. Depuis le 5 décembre 2019, et plus encore depuis le 17 Novembre 2018, c’est un monde nouveau qui se construit au quotidien. Mais celui-ci ne peut émerger qu’en se dotant des outils d’une lutte victorieuse, c’est-à-dire en s’affranchissant de la routine de mobilisations stériles dont se jouent désormais les pouvoirs en place. Les gilets jaunes ont mis un coup dans la fourmilière ; prenons acte que plus rien ne doit être comme avant.

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